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Tres Tres Jeunes Filles Nues Indiennes



Il existe six formes de danses : le bharata natyam, le kathak, le kathakali, le manipuri, le kuchipudi et l'odissi. Elles sont issues des Vedas et du Natyashastra qui est le recueil sacré où est codifié l'art dramatique. L'aspect religieux est donc très présent dans la danse indienne. Il existe bien sûr beaucoup d'autres formes de danses semi-classiques. On peut citer le bhagavatha mela, le mohiniattam, le kuravanci, etc...




Tres Tres Jeunes Filles Nues Indiennes




Le kathakali n'est dansé que par des hommes, même pour les rôles féminins. Il se démarque des autres danses classiques par la complexité de ses costumes et l'extravagance du maquillage des danseurs. Les couleurs et les costumes utilisés révèlent la personnalité des personnages qui sont classés en sept catégories : le pacca (vert) qui est le héros; le katti (poignard); le chokannatidi (barbe rouge) qui est le démon; le velupputadi (barbe blanche) qui représente le dieu-singe Hanuman; le karupputadi (barbe noire) qui est le chasseur, le kari (noir) qui est la sorcière et le minnukku qui représente les femmes, les brahmanes et les sages.


Le kathakali est une danse très narrative, bien plus que les autres types de danses classiques indiennes. Les émotions et les expressions sont transmises par le danseur grâce à des mouvements des mains, des jambes, des pieds et des yeux très complexes et d'une extrême précision. La maîtrise de cette gestuelle nécessite des années d'apprentissage, une grande mémoire et une très grande souplesse. Autrefois, une représentation de kathakali durait toute la nuit. Les chorégraphies modernes ont raccourci cette durée à deux ou trois heures.


Les danseuses de manipuri portent des voiles et une large robe sur laquelle sont posés des centaines de petits miroirs circulaires. Elles ont un rythme lent. Contrairement aux autres formes de danses indiennes, le visage de la danseuse reste immobile. Elle est accompagnée d'un percussionniste qui danse torse nu tout en jouant de son instrument, le pung. Comparé à la danseuse, son rythme est beaucoup plus rapide, voir frénétique. Il y a donc un très fort contraste entre l'allure chaloupée de la danseuse et la vigueur de l'homme.


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La présence de la race dravidienne (1) est immédiatement perçue par le voyageur qui aborde en Guadeloupe. De nombreux métis mê lent dans des proportions variables les caractères somatiques indiens à ceux des autres races. Mais il existe encore dans l'île plusieurs mil liers de purs coolies dont l'originalité raciale tranche sur le reste de la population insulaire (Pl. XXIII).


Leur peau est souvent aussi noire que celle des descendants d'Afri cains; parfois même, elle l'est davantage. Mais elle est plus fine, et garde des reflets cuivrés, ou parfois, tant elle est sombre, des reflets bleutés. La grande différence entre les deux races est dans la nature des cheveux : crépus et laineux pour l'une, souples, lisses et noirs de jais pour l'autre. Les filles ont une admirable chevelure qu'elles dé nouent pour les cérémonies religieuses d'inspiration hindouiste, et qui tombe en masses légèrement ondées jusque sur leurs épaules. Les hommes mettent une secrète application à lustrer leurs cheveux cos-métiqués que leur envient, sans nul doute, les mulâtres. Les traits du dravidien sont fins : absence de prognathisme, nez, aquilin, encore que l'aplatissement du nez existe chez certains, lèvres 'minces, grands yeux ovales et bruns, et surtout un regard magnifique, comme embué par un rêve lointain. En général, l'Indien a le crâne long, dolicho céphale; il est de taille moyenne, mais svelte et élancé, souvent maigre. Chez tous, la fragilité du squelette est un trait distinctif : attaches fines et épaules étroites. Même ceux qui sont corpulents ou obèses, car il en est quelques-uns, ne donnent jamais cette impression de puissance, que seules confèrent une large carrure et une bonne


L'histoire de l'habillement en Inde remonte au Ve millénaire av. J.-C. dans la civilisation de la vallée de l'Indus où le coton était filé, tissé et teint. Des aiguilles en os et des fuseaux en bois ont été mis au jour lors de fouilles sur le site[1]. L'industrie du coton dans l'Inde ancienne était bien développée et plusieurs de ses techniques ont survécu jusqu'à aujourd'hui. Hérodote, l'historien grec ancien a décrit le coton indien comme une laine dépassant en beauté et en bonté celle du mouton [2]. Les vêtements en coton indien étaient bien adaptés aux étés secs et chauds de ce sous-continent. La grande épopée du Mahabharata, écrite au IVe siècle av. J.-C. environ, raconte que le dieu Krishna a empêché Draupadi de se déshabiller en lui accordant un cheera sans fin[3][réf. à confirmer]. La plupart des connaissances actuelles sur les vêtements indiens anciens proviennent de sculptures et de peintures rupestres de monuments comme à Ellora. Ces représentations montrent des danseuses et des déesses portant ce qui semble être une enveloppe de dhoti, l'ancêtre du sari moderne. Les castes supérieures s'habillaient de mousseline fine et portaient des ornements en or[4]. La civilisation de l'Indus connaissait aussi les techniques de production de la soie. Une analyse récente des fibres de soie harappéennes dans les perles a montré qu'elle était fabriquée suivant la méthode du dévidage, un processus qui n'était connu que de la Chine jusqu'aux premiers siècles de notre ère[5]. Le Kimkhwab est un brocart indien tissé de soie et de fil d'or ou d'argent. Le mot kimkhwāb est dérivé du persan et signifie un petit rêve . Le Kimkhwāb, connu en Inde depuis l'Antiquité, était appelé hiraṇya, ou drap d'or, dans la littérature védique (vers le XVe siècle av. J.-C.). Dans la période Gupta (IVe au VIe siècle), il était connu sous le nom de puṣpapaṭa a, ou tissu aux fleurs tissées. Pendant la période moghole (1556-1707), lorsque le kimkhwāb était extrêmement populaire auprès des riches, les grands centres de tissage de brocart étaient Benares (Vārānasi), Ahmādābād, Surat et Aurangābād. Bénarès est aujourd'hui le centre le plus important de la production de kimkhwāb[6]. Lorsque Alexandre a envahi le Gandhara en 327 av. J.-C., les textiles imprimés en bloc en provenance d'Inde ont été constatés[7],[8].Selon l'historien grec Arrien[9] :


Les Indiens utilisent des vêtements de lin, comme le dit Néarque, fabriqués à partir du lin tiré des arbres, dont j'ai déjà parlé. Et ce lin est plus blanc que tout autre lin, ou bien les gens étant noirs, le lin paraît plus blanc. Ils ont une robe de lin qui descend à mi-chemin entre le genou et la cheville et un vêtement qui est en partie jeté sur les épaules et en partie enroulé autour de la tête. Les Indiens les plus aisés portent des boucles d'oreilles en ivoire ; car ils n'en portent pas tous. Néarque dit que les Indiens se teignent la barbe de diverses couleurs ; les uns pour qu'elle paraisse blanche comme le plus blanc, les autres bleu foncé ; d'autres la font rouge, d'autres violette, d'autres verte. Ceux qui sont d'un certain rang ont des parapluies tenus au-dessus d'eux en été. Ils portent des chaussures de cuir blanc, travaillées avec soin, et les semelles de leurs chaussures sont multicolores et surélevées, afin qu'ils paraissent plus grands.


De nouvelles routes commerciales, tant terrestres qu'outre-mer, ont créé un échange culturel avec l'Asie centrale et l'Europe. Les Romains achetaient de l'indigo pour la teinture et également des tissus de coton pour des articles d'habillement. Le commerce avec la Chine via la route de la soie a permis l'introduction de textiles utilisant des vers à soie domestiqués. Le traité de Chanakya sur l'administration publique, l'Arthashastra, écrit vers le IIIe siècle av. J.-C., décrit brièvement les normes suivies dans le tissage de la soie[11].


Dès l'Antiquité, les textiles indiens étaient échangés avec la Chine, l'Asie du Sud-Est et l'Empire romain. Le Périple de la mer Érythrée mentionne des tissus de mauve, des mousselines et des cotons grossiers[17]. Les villes portuaires comme Masulipatnam et Barygaza étaient réputées pour leur production de mousselines et de tissus fins. Le commerce avec les Arabes, qui étaient des intermédiaires dans le commerce des épices entre l'Inde et l'Europe, a introduit les textiles indiens en Europe, où ils étaient appréciés par la royauté aux XVIIe et XVIIIe siècles[18]. Les compagnies des Indes orientales néerlandaise, française et britannique se sont disputé le monopole du commerce des épices dans l'océan Indien, mais se sont heurtées au problème du paiement des épices, qui se faisait en or ou en argent. Pour pallier ce problème, des lingots ont été envoyés en Inde pour être échangés contre des textiles, dont une grande partie était ensuite échangée contre des épices dans d'autres postes commerciaux, qui étaient ensuite échangées avec les tissus restants à Londres. Les calicots, chintz, mousselines et soies à motifs indiens imprimés ont inondé le marché britannique et, avec le temps, les motifs ont été copiés sur des imitations par les fabricants de textiles britanniques, réduisant ainsi la dépendance vis-à-vis de l'Inde[19].


Les vêtements indiens traditionnels pour les femmes du nord et de l'est sont les saris portés avec des hauts choli, une longue jupe appelée lehenga portée avec un choli et un foulard dupatta pour créer un ensemble appelé gagra choli, ou alors des costumes salwar kameez, tandis que de nombreuses femmes du sud de l'Inde portent traditionnellement des saris et les enfants des pattu langa.[réf. nécessaire] Les saris en soie sont considérés comme les plus élégants. Mumbai, anciennement connue sous le nom de Bombay, est l'une des capitales indiennes de la mode. Dans de nombreuses régions rurales de l'Inde, on porte des vêtements traditionnels. Les femmes portent un sari, un long drap de tissu coloré, drapé sur un chemisier simple ou fantaisie. Les petites filles portent une pavada. Les deux sont souvent à motifs. Le Bindi fait partie du maquillage féminin.[réf. nécessaire] Les vêtements Indo-occidentaux sont la fusion de la mode occidentale et sub-continentale. Les autres vêtements comprennent le churidar, le gamucha, le kurti et la kurta, et le sherwani. 2ff7e9595c


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